Accident de la route

« Nous souhaitons vous réitérer notre profonde reconnaissance, Maître Meimon Saada. Tout était réuni dans votre intervention : professionnalisme, compétence, réactivité, disponibilité et un grand sens de l'écoute... sans oublier vos conseils.

Permettez-nous de vous adresser nos remerciements pour le travail formidable que vous avez accompli et pour le résultat que vous avez obtenu.

Merci du fond du coeur pour votre sensibilité, votre gentillesse et votre soutien.»

"J'ai particulièrement apprécié votre disponibilité et votre implication constante au cours de ses quatres dernières années"

"Mon cas était perdu d'avance, on me pensait responsable alors que j'affirmais être victime. Vous avez accepté, malgré cela, de me défendre. Grâce à vous aujourd'hui mon statut de victime a été reconnu et une indemnisation m'a été versée. Mes sincères remerciements."

M. C., 46 ans, Région Ile-de-France

"Pourtant très avertis de la spécificité de ce genre de dossier, dès le lendemain de l'accident nous avions cherché, tant parmi les cabinets les plus médiatisés qu'auprès des cabinets classiques généralistes dont ceux proposés entre autres par nos assureurs, le bon avocat.
Pendant plus de six longues années d'une angoissante errance dans tout Paris, nous sommes allés de déboires en déconvenues sans parler de frais financiers engagés à chaque fois et de tout le temps perdu à faire et refaire toujours le même dossier, en vain.
Avec Maître Pascale Meimon Saada, nous avons enfin trouvé une avocate solide avec une intelligence aiguisée, l'excellence professionnelle alliée à la complète maîtrise de ce domaine particulier, une efficacité de chaque instant, une pertinence et une tenacité assorties de grandes qualités humaines d'attention, de sincérité, de respect et de bienveillance."

"Mon fils et moi avions perdu tout espoir de pouvoir être assistés dans cette procédure où nous étions donnés perdants (la compagnie d'assurance réclamait à son fils de l'argent). Un grand merci pour avoir accepté de nous accompagner et ainsi rétablir notre droit à réparation."